Résumé

L’IMT Mines Albi est une école d’ingénieur·es généralistes membre de l’Institut Mines-Télécom, le premier groupe public de grandes écoles d’ingénierie et de management en France. Située en région Occitanie, cette institution se distingue par son fort ancrage territorial, sa proximité avec le tissu industriel, et son engagement pour les transitions écologiques, énergétiques et numériques.

La visite a permis d’aborder de manière approfondie les volets formation, recherche et international, en lien avec les enjeux actuels de l’enseignement supérieur. Sur le plan de la formation, IMT Mines Albi propose un cursus de trois années d’école d’ingénieur·e, accessible après deux années de classe préparatoire, en statut étudiant ou en alternance. L’école accueille aussi des profils spécifiques, comme des pharmaciens poursuivant une formation complémentaire en ingénierie des procédés. Les formations spécialisées incluent des Mastères Spécialisés® et Executive Masters répondant à des besoins ciblés dans l’économie circulaire, la construction durable ou encore la logistique. L’offre est complétée par un doctorat et plusieurs doubles diplômes internationaux. L’approche pédagogique repose sur une combinaison d’enseignements académiques, de projets de groupe, et d’expériences professionnelles, avec un fort taux d’insertion à l’issue de la formation (98 % d’emploi, salaire moyen de 40’100 € brut annuel).

Sur le plan de la recherche, l’école dispose de trois centres reconnus, dont deux en cotutelle avec le CNRS : le centre RAPSODEE (procédés pour la santé, l’énergie et la valorisation de la biomasse) et l’Institut Clément Ader – site d’Albi (matériaux, procédés et aéronautique). Les recherches intègrent des enjeux industriels et sociétaux avec une forte capacité de transfert technologique, notamment grâce à des plateformes expérimentales uniques, un incubateur, et des partenariats étroits avec des entreprises régionales et nationales. La recherche en génie industriel, via le Centre Génie Industriel, s’oriente vers la résilience organisationnelle, la logistique, les systèmes de santé ou encore les crises, avec des approches interdisciplinaires combinant sciences humaines, données et modélisation.

L’ouverture internationale est un axe stratégique affirmé, avec 20 % d’étudiantes et étudiants internationaux, de nombreux partenariats académiques, des mobilités sortantes obligatoires et une participation active dans des réseaux européens comme EULIST. L’accompagnement des étudiantes et étudiants internationaux est reconnu, notamment à travers le label Bienvenue en France.

La visite a également coïncidé avec un moment fort de la vie de l’établissement : la conférence de François Hollande, ancien président de la République, sur les grands désordres géopolitiques contemporains et les responsabilités des ingénieurs et décideurs de demain. Cette intervention a illustré l’inscription de l’école dans les débats sociétaux et géostratégiques actuels. Cette immersion à IMT Mines Albi confirme l’intérêt d’un modèle de formation intégrée, fortement lié à l’écosystème industriel et de recherche, capable de répondre à des enjeux complexes et de former des ingénieur·es à la fois compétent·es, responsables et engagé·es.

Contexte de l’école

IMT Mines-Télécom

L’Institut Mines-Télécom (IMT) est le premier groupe public de Grandes Écoles d’ingénieurs et de management en France, rattaché au Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Il fédère huit Grandes Écoles publiques et deux écoles filiales, et s’appuie sur un réseau dense de partenaires académiques, économiques et institutionnels à l’échelle nationale et européenne. Il forme chaque année plus de 13’000 étudiantes et étudiants, délivre plus de 4’700 diplômes, et se distingue par une forte implication dans la recherche partenariale, l’innovation technologique et l’accompagnement des entreprises, notamment les PME.

Créées pour répondre aux besoins industriels du pays depuis le 19e siècle, les écoles de l’IMT sont aujourd’hui engagées dans les grandes transitions technologique, numérique, industrielle et écologique, en conjuguant excellence scientifique, proximité territoriale et esprit d’innovation. Le groupe se positionne comme un acteur moteur de la transformation de l’enseignement supérieur et de la recherche, avec une stratégie 2023–2027 centrée sur l’impact sociétal, l’interdisciplinarité et l’ouverture à l’international

Sa raison d’être « Ensemble pour imaginer et construire un avenir durable et former ses acteurs » s’exprime concrètement dans ses actions : développement des compétences de demain, accélération de la transition écologique, transformation pédagogique, et ancrage dans les territoires pour soutenir l’innovation locale. À travers ses écoles, l’IMT propose des formations d’ingénierie et de management à forte employabilité et développe des domaines d’expertise tels que l’intelligence artificielle, la cybersécurité, l’énergie durable, l’économie circulaire, l’industrie 4.0, les systèmes embarqués ou encore la santé numérique.

L’Institut Mines-Télécom se distingue également par son engagement pionnier en faveur du développement durable, avec une feuille de route écologique transversale, des labels DDRS obtenus par plusieurs écoles dès 2017, et une intégration systématique des enjeux de soutenabilité dans ses formations, ses recherches et ses pratiques de gouvernance.

IMT Mines Albi, une école au cœur des transitions

Située dans le sud-ouest de la France, IMT Mines Albi[1] est une école d’ingénieurs généralistes basée sur un campus de 22 hectares avec un grand nombre de logements et des infrastructures sportives et artistiques ainsi que des espaces de travail. Elle incarne l’excellence académique et scientifique, combinée à un fort ancrage territorial et une ouverture à l’international. Elle est membre de l’alliance des Universités européennes EULIST[2] (European Universities Linking Society and Technology) qui rassemble des universités technologiques et généralistes autour de valeurs communes telles que l’inclusion, la démocratie et la coopération pacifique. Sa mission est de favoriser une transformation institutionnelle européenne fondée sur la durabilité, en croisant les sciences, technologies et humanités pour répondre aux grands défis sociétaux comme le changement climatique et la transition numérique. À travers des projets transdisciplinaires, EULiST promeut une recherche à fort impact, une formation innovante et une ouverture vers la société.

L’école accueille actuellement 1’058 élèves, dont 35 % de femmes, au sein de ses trois centres de formation et de recherche. Chaque année, ce sont plus de 5.7 millions d’euros de contrats de recherche qui sont conclus, témoignant du dynamisme et de la qualité de ses partenariats académiques et industriels. Le cursus d’ingénieur généraliste est dispensé sur un cycle de trois ans après deux années de classes préparatoires scientifiques, selon le modèle des grandes écoles françaises. Cette formation est accessible en statut étudiant à temps plein ou en alternance. IMT Mines Albi propose également un cursus spécifique de deux ans permettant à des pharmaciens d’obtenir le titre d’ingénieur, ainsi qu’une offre élargie de Mastères Spécialisés® (MS) et d’Executive Masters pour répondre aux besoins de spécialisation ou de reconversion. Parmi ces formations, on retrouve par exemple le MS BE+ « Bâtiment à Énergie Positive », axé sur la réduction de l’impact environnemental dans le secteur de la construction, ou encore le MS PRINEC « Matériaux et procédés pour l’Économie Circulaire ». L’Executive Master en « Management de projets Lean et Supply Chain » s’adresse, quant à lui, aux professionnels souhaitant acquérir une expertise stratégique dans ces domaines. Enfin, l’école prépare également au doctorat dans ses domaines d’excellence.

Reconnue pour ses activités de recherche partenariale de haut niveau, l’école développe ses compétences autour de quatre grands domaines d’expertise :

  • Matériaux et procédés pour l’aéronautique et le spatial : en réponse aux attentes du secteur industriel des transports de demain, IMT Mines Albi propose une formation d’ingénieur généraliste de haut niveau et mène une recherche de pointe sur les matériaux, les structures et les procédés de mise en œuvre avancés. Ces travaux sont menés en lien direct avec l’Institut Clément Ader (ICA-A), UMR CNRS 5312, implanté sur le site albigeois.
  • Poudres, santé et nutrition : caractériser les solides (poudres, mélanges, particules enrobées ou composites, polymères, etc.), comprendre leur structuration lors des transformations et anticiper leur fonctionnalité dans l’usage visé sont des enjeux majeurs dans de nombreux secteurs industriels. Le centre RAPSODEE d’IMT Mines Albi, reconnu pour son excellence, contribue à ces problématiques dans les domaines de la pharmacie, de la cosmétique, de l’agroalimentaire, des biotechnologies ou encore de la chimie.
  • Énergies renouvelables, biomasse, déchets et éco-activités : l’amélioration de l’efficacité énergétique, l’intégration des énergies renouvelables et de récupération dans le mix énergétique, ainsi que le recyclage des composants en fin de vie sont au cœur des engagements de l’école. Ces travaux, essentiels à la transition écologique et énergétique, sont conduits par le centre RAPSODEE, UMR CNRS 5302.
  • Cinétique des organisations : face à des environnements industriels instables, l’émergence d’organisations plus robustes, agiles et résilientes devient cruciale. Le Centre Génie Industriel d’IMT Mines Albi développe des méthodes et outils d’aide à la décision pour des systèmes logistiques, de production, de gestion de crise ou encore de santé, dans des contextes marqués par l’incertitude, l’hétérogénéité et la collaboration.

Ces thématiques sont développées en interaction étroite avec les milieux socio-économiques, les collectivités et les partenaires académiques, contribuant à faire de l’école un acteur reconnu de l’innovation scientifique et technologique. Enfin, IMT Mines Albi se distingue par la richesse de son réseau de partenaires, au niveau national et international, et par sa volonté affirmée de collaboration ouverte, qu’il s’agisse de projets de recherche, d’accueil de stagiaires ou de co-construction de formations. Elle offre ainsi aux étudiantes et étudiants un environnement stimulant, à la croisée des savoirs et des pratiques, tourné vers l’action et la transformation des systèmes.


[1]      https://www.imt-mines-albi.fr, consulté le 15.05.2025.

[2]      https://eulist.university, consulté le 15.05.2025.

Entretiens

Partie internationale

La dimension internationale est en pleine expansion à IMT Mines Albi, avec une progression notable du nombre d’étudiantes et d’étudiants internationaux, passé de 15 à 65 entre 2020 et 2025. L’école affiche une forte volonté d’ouverture, comme en témoigne son adhésion à l’alliance universitaire européenne EULiST. Des partenariats de double diplôme sont en place ou en cours de développement, notamment dans les domaines du génie mécanique, de la valorisation des déchets (avec RAPSODEE) et des data sciences.

Des échanges structurés sont également menés avec des établissements d’Asie du Sud-Est, comme en Malaisie, selon des schémas 3+3 : trois années dans l’établissement d’origine, puis un cycle d’ingénierie en France. Ces parcours permettent d’identifier très tôt les profils susceptibles d’intégrer une école d’ingénierie. Cette visite a été organisée avec le soutien de Philippe Lours, Directeur des Affaires Internationales, qui a accompagné l’ensemble des entretiens, ainsi que de Madame Amélie Farrié. Elle a permis de constater le rôle structurant joué par les services internationaux dans l’accueil, l’accompagnement et l’intégration des étudiantes et étudiants venus du monde entier.

Partie formation

IMT Mines Albi forme des ingénieures et des ingénieurs généralistes sur un cycle de trois ans, après un bac+2 (classe préparatoire, BTS, BUT). La formation est accessible en statut étudiant à temps plein ou en alternance. Elle se distingue par une forte implication dans les transitions écologiques, numériques et sociétales. Des parcours spécifiques sont également proposés : un double diplôme pour les pharmaciens (2 ans après 5 ans de pharmacie), des Mastères Spécialisés® (énergie positive, économie circulaire), des Executive Masters (Supply Chain, Lean) et un accès au doctorat.

Le parcours type comprend un tronc commun renforcé en sciences fondamentales, techniques, et en sciences humaines et sociales, des options spécialisées dès le quatrième semestre (énergies renouvelables, génie industriel, procédés pharmaceutiques, etc.), et un fort ancrage en entreprise avec deux stages : ouvrier·ère (1ère année) et fin d’études (6 mois). La pédagogie valorise l’engagement, l’ouverture, et le développement personnel, avec des modules  Humanités et Société. Le plein emploi (98 %) et un salaire moyen de 40’100 € témoignent de la reconnaissance du diplôme. La part d’alternants, en forte croissance, renforce la professionnalisation. Ce volet a été approfondi avec Franck Journeau, Directeur des Formations.

Partie recherche

La recherche à IMT Mines Albi repose sur trois centres de formation et de recherche, dont deux sont copilotés avec le CNRS. Les thématiques couvrent :

  • RAPSODEE : poudres, procédés, biomasse, santé, nutrition, valorisation énergétique. Collaboration étroite avec le groupe Pierre Fabre pour les médicaments, et plateformes technologiques de pointe.
  • ICEA (Institut Clément Ader) : matériaux et procédés pour l’aéronautique et le spatial, en lien avec les besoins industriels du territoire et les grands programmes de recherche.
  • Centre Génie Industriel : logistique hospitalière, systèmes de crise, organisation agile, collecte et modélisation des données, jumeaux numériques.

Ces centres articulent recherche, innovation et transfert technologique. La recherche est largement financée par les entreprises (40 % du budget) et les projets publics (60 %, notamment via ANR, Horizon Europe). Les activités sont pilotées dans une logique de stratégie partagée, avec des bilans réguliers et un accompagnement au transfert technologique, sous la responsabilité de Xavier Lorca, Directeur de la Recherche, du Doctorat et de l’Intelligence Économique.

Evénement associé

La veille de la visite, une conférence de M. François Hollande a permis d’aborder le thème : « Nouveau désordre mondial : risques et opportunités pour la France et l’Europe ». L’événement a offert un éclairage clair sur les mutations géopolitiques contemporaines. M. Hollande a partagé sa lecture des équilibres internationaux et souligné la responsabilité des futures générations d’ingénieures, d’ingénieurs et de décideur·euses face aux grands défis mondiaux.

Analyse

La visite à IMT Mines Albi a mis en évidence une école d’ingénierie solidement ancrée dans son environnement économique et industriel, tant sur les plans pédagogique que scientifique. Le cycle ingénieur (bac+5) forme des ingénieurs généralistes selon un modèle éprouvé, alliant une formation scientifique de haut niveau à une proximité concrète avec le monde de l’entreprise. Le lien avec les milieux professionnels est manifeste dans les modalités d’enseignement de la 3e année, dans les options proposées ou encore dans les modalités de stage. L’insertion professionnelle est excellente, et l’attractivité des formations reste élevée malgré un contexte budgétaire contraint. L’offre en alternance permet également de diversifier les parcours. Cependant, à l’inverse des hautes écoles suisses, l’institution ne propose pas de formation d’ingénieur de niveau bachelor, ce qui limite certaines comparaisons en matière de flexibilité ou de modularité des cursus. Enfin, la recherche appliquée est fortement intégrée à la formation par projets, bien que peu accessible au niveau pré-ingénieur (licence).

ObjectifObservations
1. Développement des programmes en collaboration avec les milieux professionnels 
1.1 Analyser les stratégies adoptées pour intégrer des partenariats avec les entreprisesL’école développe de nombreux partenariats industriels. Le lien avec les entreprises est structurant, en particulier en 3e année où l’enseignement est assuré en grande partie par des vacataires issus de l’industrie.
1.2 Identifier les pratiques innovantes de co-construction répondant aux besoins du marchéDes projets industriels sont intégrés dans la formation, permettant aux étudiantes et étudiants de répondre à des problématiques réelles d’entreprise, avec une pédagogie orientée terrain.
2. Attractivité des formations en ingénierie 
2.1 Étudier les initiatives visant à renforcer l’attractivité des filières, notamment en lien avec l’employabilitéL’école bénéficie d’une excellente image et sélectionne ses étudiantes et étudiants. Le taux d’emploi est très élevé, avec un positionnement clair sur le marché. L’alternance permet d’élargir l’accès et de répondre à la demande professionnelle.
2.2 Analyser les dispositifs mis en place pour attirer davantage d’étudiantes et d’étudiantsLe défi n’est pas d’attirer davantage de personnes, mais de répondre aux demandes (nombreuses) avec les moyens limités. L’ouverture à l’international et les doubles diplômes permettent de renforcer la visibilité.
3. Formation courte versus cycles longs 
3.1 Comparer les programmes professionnalisants courts avec les filières classiques (5 ans)IMT Mines Albi n’offre pas de cycle court de type bachelor. La formation repose sur le modèle français en 5 ans, avec intégration après deux années de classe préparatoire.
3.2 Identifier les forces et limites des deux systèmes (flexibilité, employabilité, transfert de compétences)L’absence de formation courte crée une distinction claire entre ingénieur·es diplômé·es et technicien·nes ou ingénieur·es assistant·es. L’employabilité reste forte, mais la flexibilité institutionnelle est moindre.
4. Flexibilité des formations 
4.1 Explorer les dispositifs favorisant la modularité : VAE, micro-certifications, parcours hybridesLe cursus est structuré autour de deux statuts : étudiant à plein temps et alternant. Le passage du plein temps à l’alternance est possible en 3e année. Les dispositifs de VAE ou micro-certifications n’ont pas été abordés.
4.2 Étudier l’effet de ces dispositifs sur la réussite académique et les parcours individualisésNon traité durant la visite.
5. Articulation entre enseignement et recherche 
5.1 Analyser des exemples de collaboration réussie entre enseignement et rechercheLe travail en mode projet, ancré sur des problématiques industrielles, favorise une articulation forte avec la recherche appliquée. La présence de doctorants renforce cette dynamique.
5.2 Identifier les pratiques favorisant la participation des étudiantes et des étudiants à la recherche dès le bachelorNon applicable dans le modèle français : la formation commence directement au niveau ingénieur, après le bac+2.

Conclusion

La visite à IMT Mines Albi s’inscrit dans un moment stratégique pour l’école, engagée dans une transformation continue de ses cursus et dans le développement de sa visibilité internationale. L’établissement offre un équilibre robuste entre excellence académique, ouverture sociétale et partenariat industriel, avec une formation d’ingénieur clairement structurée selon le modèle français des grandes écoles. Les enjeux de transition écologique, de numérisation et de développement durable sont pleinement intégrés dans les parcours pédagogiques comme dans les thématiques de recherche. La diversité des options proposées, la place croissante de l’alternance et le haut niveau d’employabilité des diplômé·es confirment l’ancrage de l’école dans les besoins du tissu économique.

Bien que le modèle en cinq ans ne permette pas de comparaison directe avec les bachelors professionnalisants tels que ceux offerts en Suisse, IMT Mines Albi illustre parfaitement la pertinence du lien fort entre formation d’ingénieur·e, recherche appliquée et développement territorial. L’intégration progressive des étudiants internationaux, l’ouverture à des parcours doubles diplômes ou encore l’insertion des pratiques entrepreneuriales dans le cursus renforcent encore la position d’une école résolument tournée vers l’avenir.

Remerciements

Je tiens à adresser mes sincères remerciements à Monsieur Philippe Lours, Directeur des Affaires Internationales, pour son accompagnement tout au long de la visite ainsi qu’à Madame Amélie Farrié, pour l’organisation précise et attentionnée de l’ensemble du programme.

Je remercie également Monsieur Franck Journeau, Directeur des Formations, et Monsieur Xavier Lorca, Directeur de la Recherche, du Doctorat et de l’Intelligence Économique, pour la qualité de nos échanges. Leur disponibilité et leur engagement ont largement contribué à la richesse de cette rencontre.

À toutes et à tous, un grand merci pour votre disponibilité, votre engagement et votre ouverture, qui témoignent de la vitalité de votre institution et de son ancrage dans les défis contemporains. Ces échanges nourriront assurément les réflexions du Conseil de domaine Ingénierie et Architecture de la HES⁠-⁠SO.